Lourdingue. Puisqu'il me faut bien reprendre le blog après le retour Paris, ce sera avec ce mot. Le premier qui me vient à l'esprit lorsque je relis ce titre un jour envisagé, apparemment. Sans doute la tentation du titre long…*
Il faudrait sans doute, si ce n'est déjà fait**, produire un essai sur la question de la longueur des titres, une étude comparable à celle réalisée par Valérie Beaudouin (de l'Oulipo) sur le mètre et les rythmes de l'alexandrin classique***. Un travail de recherche aussi rigoureux et objectif.
Je ne m'y collerai pas bien sûr. Je ne fais que lancer, généreusement (!), l'idée.
En attendant, je ne peux que considérer mon titre, un peu hébété, en essayant de me rappeler ce qu'il souhaitait recouvrir.
Au vu de ma rentrée 2010 on ne peut plus chargée, peut-être qu'en fin de compte ce Cahier… aurait-il sa place comme chronique de mes (nos) agitations plus ou moins vaines ?
Pour le savoir il faudrait l'écrire mais je ne l'écrirai pas : pas le temps, je vous dis.****
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* Alors que, vous l'aurez noté, Re- cède à la tentation du titre court.
** Cela a dû être fait.
*** Mètre et rythmes du vers classique. Corneille et Racine (Honré Champion, 2002)
**** Je crois que le message va finir par être reçu !
pour enc***r les mouches je dirais plutôt que Re- cède à la tentation du titre court amputé au trois quarts
RépondreSupprimerbr
C'est vrai, cher br (ou Benpît R. ?) et je ne désespère pas de faire encore plus court, tu verras !
RépondreSupprimerle record de Roubaud sera dur à battre !
RépondreSupprimerbr (himselpf)