Je vais devoir sérieusement penser à enregistrer les prochaines rencontres. Comment rendre sinon d'aussi beaux moments que l'entame de discussion de Jérôme Mauche hier au soir ?
Comme je lui demandais la genèse éditoriale d'= jonchée d'Anne Parian, il s'est mis à digresser incroyablement sur le motif du "Café Beaubourg". Impossible à relater ici malheureusement, ce n'est pas paraphrasable, et je regrette encore de l'avoir interrompu pour avancer dans mes questions. Quand et où se serait-il arrêté ? N'était-on pas là en train d'assister à la publication orale – pour reprendre une expression de Michèle Métail – d'un "texte" tout frais de Jérôme ?
L'audience était réduite, principalement composée d'amis poètes (merci à eux !)*, mais j'ose imaginer le même discours devant une salle comble. Le bouche-à-oreille fonctionnerait très vite, je vous le dis, et les gens se battraient pour venir entendre ses digressions.
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Je redescends un instant sur terre, ne suis pas sûr que Jérôme Mauche ait envie de se lancer dans le music-hall.
Hier, Anne et lui ont joliment parlé de poésie, de poésie dure et drôle, sentimentale même**. Il y avait du plaisir à prendre, et des curiosités à satisfaire.
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À Bonn en tandem…***
-Frédéric Forte
* Mais pas que (merci à tous ceux qui étaient là).
** Et ils en ont lu.
*** Oups ! je voulais dire… mais vous m'avez compris.
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